Hypoxie

Deluge
Elles ruissellent les rivières, abondance écessaire,
Toutes les écluses sont ouvertes.
Et sous cette pression,
Tout se déchaine, tout se disperse, puis tout s'apaise.
Il 'existe aucun capitaine, qui, face í  ce tumulte éphémère,
Puisse tenir le cap,
Garder une direction régulière,
Prendre les récifs pour des continents, des terres d'accueil,
Mais rien 'y pousse, rien ne vit,
Si ce 'est l'espoir.
Ce faux frère, qui t'emporte, te fatigue, te happe.
Faute de secours, on finit par couler í  pic,
Tiré vers le fond par un cÅ“ur trop lourd.