Possedes

Romain Humeau
Tu 'es pas de celles qui s'enivrent
En r탪vassant sous les demi-lunes
Il y a au coeur comme des crevasses
Que m탪me l'amour en est d탩gueulasse
Tu 'es pas de ceux qui esp탨rent
En l'humanit탩 tous des faux fr탨res
Si탨cles de charniers en charniers
Espoir, libert탩, poss탩d탩s
íƒâ‚¬ mon insu l'탢me se laisse
Poss탩der
íƒâ‚¬ mon insu l'탢me se laisse
Poss탩der
Mais on s'branle de tout quand tout 탩coeure
Tu serais de ceux qui s'inclinent
Quand l'ombre des faucons d탩ploie ses ailes
Et faire taire la poudre de guerre lasse
De gauche 탠 droite tous te les cassent
Encore moins de ceux qui s'indignent
Du sang des morts de toute injustice
Pour des maisons blanches, de l'or noir
Nos p'tits coups d'cutter d탩risoires
íƒâ‚¬ mon insu l'탢me se laisse
Poss탩der...
Mais on s'branle de tout quand tout 탩coeure
On ne s'appartient plus vraiment
Pour quelques palais tentaculaires
Je ne vis plus, je me mens
Le coeur sur des tranchants polaires
íƒâ‚¬ mon insu l'탢me se laisse
Poss탩der...
L'espoir, libert탩
Poss탩d탩s