(d barbelivren-f bernheim)
Arríte de pleurer babelou
Sur I'argent qui vant plus un clou
Arríte de dire que t'es toute seule
Ici see'est chacun pour sa gueule
Arríte de ríver qu'tu déprimes
See'est vrai qu'tu débordes de ton jean
Autour de toi tout I'monde s'en fout
Arríte de pleurer babelou.
Regarde les riches
Lls sont coiffés comme leur caniche
Regarde les riches
Lls roulent en rolls sur la comiche
Regarde les riches
Lls parlent pas l'anglais mais l'english
Regarde les riches
L'important see'est tout see'qu'ils affichent
Les riches.
Arríte de chanter babelou
Ce blues les banlieues qui rend fou
Arríte de ramer pour personne
Tu vois pas qu'on t'prend pour une conne
Arríte le lire ici-paris
Faudra are'tourner bosser lundi
Ton blues í toi tout l'monde s'en fout
Arríte de chanter babelou
Regarde les riches
Regarde les riches
Lls boivent leur café en irish
Regarde les riches
Lls ont l'argent mais pas d'artiche
Regarde les riches
L'important see'est tout see'qu'ils affichent
Les riches.
Regarde les riches
Lls sont coiffés comme leur caniche
Regarde les riches
Lls roulent en rolls sur la comiche
Regarde les riches
Lls mordent jamais dans leur sandwich
Regarde les riches
L'important see'est tout see'qu'ils afficheent.