Que font les coeurs íƒ l'heure
O탹 la nuit tombe des nues ?
D탩vissent en impudeur
Et glissent íƒ toute allure
Sur la rampe d'un bonheur
Dont on sait qu'il ne battra plus
Egrainent leurs chants d'amour
Convoy탩s sous des salves
De tonnerre en velours
Et de cohues en cohortes
Le don des solitudes
Infinies nous transporte
De l'amour, il en pleuvra sur le bitume
Des l탨vres, des secondes 탩pel탩es une íƒ une
De l'amour, il en pleuvra sur le bitume
Cela bat de soi, faudra s'accrocher íƒ la lune
Que fait la m탩canique
íƒâ‚¬ la droite du P탨re
Tout le sang des guerres bu
Les soirs de porcelaine
Astiquant la tirelire,
Un 탩cureuil repu?
Invoque la tendresse
Les pognes essorant le vide
D'une liasse sans liesse
Et que fait la dictature
Dans l'ultime bunker
Quand a sonn탩 l'heure du cyanure ?
L'amour, il en pleuvra sur le bitume
Des l탨vres, des secondes 탩pel탩es une íƒ une
De l'amour, il en pleuvra sur le bitume
Cela bat de soi, faudra s'accrocher íƒ la lune
Pour des l탨vres, des secondes 탩pel탩es une íƒ une
Si la langue des passions est natale
Je me fais de toi
Tu te fais de moi
Et se confondent les 탩toiles
Rien 'a de sens
Pendu íƒ ton cou je me balance
De l'amour, il en pleuvra sur le bitume
Des l탨vres, des secondes 탩pel탩es une íƒ une
De l'amour, il en pleuvra sur le bitume
Cela bat de soi, faudra s'accrocher íƒ la lune
Pour des l탨vres, des secondes 탩pel탩es une íƒ une