Elle vient de loin et susurre
Des lubies en essaim
Quand sur son parchemin forain
Mes b탪tes noires s'en font parures
Sensations nues
íƒâ‚¬ fleur de nature
Ma 탩buleuse m탩lancolique
D탩s lors que les cierges auront fondu
íƒâ‚¬ supplier les Dieux blancs de l'Arctique
Et qu'au fond du barnum de ton cul
S'탩coulera la puret탩 des sentiments
íƒâ‚¬ descendre et soulever les rues
Langues de dragons et fl탢neuses
Joueront la f탩erie
D'un point d'orgue de Barbiturie
Ma 탩buleuse, ma 탩buleuse
Ma 탩buleuse m탩lancolique
J'me cherche en Orient
Si je me trouve, je me quitte
Qui de moi le premier a su
Soulager de ses splendeurs
Les voix cass탩es íƒ l'int탩rieur ?
Qui de vous le premier a vu
Ses hauts plateaux
Et vastes contr탩es
O탹 l'on s'empilule de mano íƒ mano
Pour de houleuses Odyss탩es ?
Ma 탩buleuse, ma 탩buleuse
Ma 탩buleuse m탩lancolique
J'me cherche en Orient
Si je me trouve, je me quitte
Tandis que la nation crache ses nonnes
Gelant qu탩quettes et soleils
Pleurant d'orage Orion s'탩tonne
Me voyant boire íƒ la fontaine
De sa bouche en crocs d'abeilles
Sans craindre les escarmouches
Qui constellaient nos vies bancales
Dans son cr탩puscule terre de Sienne
Avec la raison de la d탩raison toute ligne d'horizon
Sera mienne
Ma 탩buleuse, ma 탩buleuse
Ma 탩buleuse m탩lancolique
J'me cherche en Orient
Si je me trouve, je me quitte